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neurophone technologie

Technologie

Lors de l’utilisation du Neurophone, le corps devient une partie du circuit de communication et joue le rôle d’une sorte de récepteur radio. Après avoir connecté les deux électrodes, le circuit est fermé, les oscillations sont transmises et le son est donc perçu. Un mécanisme de liaison inverse fonctionne, dans ce sens que les signaux transmis s’adaptent aux énergies qui varient de personne à personne.
Celles-ci dépendent par exemple de l’humeur de chacun, que la personne est en forme ou non, ainsi que des facteurs que l’alimentation.

Le Neurophone transforme les sons qui sont ensuite transmis au cerveau grâce à une onde porteuse dans le domaine des ultrasons elle-même transmise par les électrodes. Pour les signaux sonores, le Neurophone utilise des codes spécifiques qui sont ensuite décodés par le cerveau en sons. Le signal ultrasonore de base ne transmet lui-même aucune information sonore. L’utilisateur du Neurophone n’est donc pas « programmé » de façon active. L’utilisateur définit lui-même le type d’information qu’il souhaite recevoir en choisissant les sons qui seront transmis par le signal ultrasonore.

Les versions du Neurophone disponibles actuellement possèdent un générateur intégré pour un « bruissement rose », une fréquence de sons, qui en général favorise la relaxation et l’équilibre. Le Neurophone DSP permet comme alternative de connecter une source sonore externe tel qu’un lecteur CD et ainsi d’écouter des programmes pour l’apprentissage des langues ou de méditation.

Durant le transfert de stimulants, le Neurophone contourne les voies habituelles par lesquelles on reçoit et traite les informations et peut ainsi contourner les blocages d’énergie. Les sons reçus normalement par nos oreilles sont filtrés et leur « importance » est contrôlée. Ainsi les informations sont sélectionnées. Le Neurophone contourne l’ensemble des moyens de réception auditive.

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Patrick Flanagan a déchiffré le code qui, au niveau du cerveau, est décodé en information sonore. Les sons ou les informations transmises par le Neurophone sont incorporées dans le signal de base ultrasonore. Le Neurophone transmet le signal par le biais de la peau à une glandule à l’intérieur de l’oreille, le Sacculus. Le Sacculus n’était connu jusqu’à présent qu’en tant qu’organe servant à l’équilibre. On sait maintenant que le Sacculus est un organe ultrasonore qui est aussi utilisé par les mammifères tels que les baleines et les dauphins pour la perception ultrasonore. Patrick Flanagan affirme que nos ancêtres auraient communiqué avec des baleines ou des dauphins grâce au Sacculus…

Des extrémités nerveuses partent du Sacculus vers diverses régions du cerveau, par exemple vers la région de la mémoire à long terme. En arrivant au cerveau les signaux sont de nouveau déchiffrés/décodés et perçus comme des sons, car la technologie du Neurophone utilise le même système d’encodage avec lequel les sons sont codés. Le Neurophone peut ainsi transmettre à notre cerveau des informations sonores ou des programmes destinés à l’apprentissage sans détour ni filtre. Patrick Flanagan qualifie le Neurophone d’« appareil expérimental ». Les expériences d’utilisation diffèrent en effet souvent selon les personnes. D’après Patrick Flanagan, les principales utilisations reposent sur le soutien dans l’apprentissage de même que la relaxation et la méditation.

Le Neurophone peut convertir les sons (comme la parole et la musique) en impulsions électriques, qui peuvent être transférées directement dans le cerveau, en passant par n’importe quel point du le corps.

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L’Office des brevets a refusé de délivrer un brevet pour cet appareil pendant plus de six ans, le temps de discuter en détail de cette technologie pointue. Finalement, les fonctionnaires déclarèrent que le Neurophone ne marcherait jamais et refusèrent le brevet. Patrick et son avocat se rendirent à Washington D.C. avec un appareil, afin de le montrer à l’examinateur de l’Office des brevets. L’examinateur a déclaré que si cet appareil pouvait rendre l’ouïe à un employé qui souffrait de surdité nerveuse, il rouvrirait les dossiers et accorderait le brevet. L’appareil fonctionna, l’employé entendit et … chose promise, chose due, le brevet fut accordé.

Cet appareil serait l’interface absolue entre le cerveau et l’ordinateur. L’idée de pouvoir transférer, dans la mémoire à long terme, une profusion d’informations correctement formatées, entraînerait une révolution dans le monde de l’éducation. Les modèles éducatifs existants deviendraient, de ce fait, obsolètes. L’éducation ne concernerait plus l’accumulation de données, mais mettrait l’accent sur l’apprentissage des stratégies et l’exploitation des ressources mentales. Cette transformation offrirait de grandes possibilités de créativité et de développement personnel, grâce à la maîtrise des potentiels intellectuels.

– Textes copyright Katrin Klink –